
Tootatis Origine – Deux jeunes influenceuses nommées Tootatis et Polska qui ont été acceptées sur la plateforme TPMP ont été sévèrement critiquées par le journaliste Guillaume Genton pour s’être présentées en public en portant des vêtements peu outrageants. Sans aucun doute, il aurait préféré qu’ils soient supprimés.
Au retour d’un ribouldingue d’Halloween, deux charmantes et jeunes influenceuses françaises nommées Tootatis et Polska ont été aperçues à Paris refusant l’entrée au Café des Phares sur la place de la Bastille. Ils voulaient manger des œufs pour subvenir à leurs besoins après ce qui semblait être une nuit très active.
Leur tenue de jour ou plutôt de nuit, jugée inappropriée par la direction de l’établissement, a été la raison de leur bannissement du pub qu’ils fréquentaient fréquemment en tant qu’individus civilisés. De délicats “déguisements” qui, même s’ils servaient à profiter de leurs figurines fantasmatiques, ne pouvaient que passer pour des pensionnaires âgés de la volière. Ou alors très loin. Ils sont tellement mécontents qu’ils ont tout fait en un seul morceau. Ils ont partagé leur mésaventure avec leurs milliers de followers. Et ils ont été accueillis à Hanouna.
Les enfants qui mangent des croissants doivent être protégés.
On aurait pu supposer qu’ils seraient accueillis à bras ouverts dans cette zone libre ou que leur chagrin serait réconforté. Quel nenni ! Les flics de TPMP les attendaient les pieds bien plantés. En la personne de Guillaume Genton, spécialiste du (petit) vêtement. Dans un souci de professionnalisme, il avait pris le temps de demander des éclaircissements au patron.
Après une enquête approfondie, notre agent spécial n’a pu que conclure que la tenue vestimentaire de nos deux gourgands aurait pu étouffer “les (nombreuses) familles prenant leur petit-déjeuner”. Par conséquent, l’expulsion des deux femmes effrontées était pleinement justifiée. On ne peut qu’applaudir l’effort fait pour empêcher les enfants innocents (et leurs pères, le cas échéant) d’avoir des ennuis tôt le jour de la Toussaint. Patron et Guillaume, merci.
La raison pour laquelle vous êtes victime de discrimination est que vous êtes noir ou homosexuel
Notre distingué et raffiné Guillaume, celui-là même qui, le 13 janvier, toujours à Hanouna, avait décrit sa relation amoureuse avec un Pétomane en toute simplicité, leur avait claqué la porte au nez lorsqu’ils avaient tenté de laisser entendre qu’ils n’avaient été qu’un peu peu discriminés (en violation de l’article 225-1 du code pénal) et qu’ils n’ont pas trop vu en quoi ils troublent l’ordre public (ils n’étaient même pas ivres).
Notre juge d’élégance avait oublié les femmes voilées ! Rappelons qu’en 2006, deux femmes qui avaient été harcelées par le propriétaire d’un chalet en location de vacances ont réussi à la faire condamner à quatre mois de prison avec suramende, 1 000 $ de dédommagement, 3 000 $ de dommages et 800 $ à chacune des trois parties civiles , la Ligue des droits de l’homme, la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme et le Mouvement contre le racisme et pour la paix entre les peuples.
Et le 16 novembre, une restauratrice d’Hendaye qui avait refoulé une femme transgenre d’entrer dans son établissement en mai a été condamnée à payer une amende de 600 euros. Il faut bien avouer que ces femmes, mères comme il se doit, étaient bien protégées par eux !
Dur-dur d’être chroniqueur
Comme à leur habitude, les chroniqueurs mutilent le maillot pour revenir sur notre conflit actuel. Gilles Verdez, qui semble avoir des idées plus originales maintenant qu’il essaie d’économiser l’eau, a mis beaucoup de gens en colère lorsqu’il a affirmé à tort que les femmes étaient discriminées parce qu’elles étaient petites. Bravo Gillou ! Mais ce n’est pas Sandrine Rousseau qui veut.
À tous égards, à ce moment-là, il était seul. Les deux glands de mineur ont été consciencieusement assaisonnés en conséquence. Le plus mécontent était Sir Genton, qui a déclaré: “Au lieu d’essayer constamment de faire le buzz, vous devriez marcher légèrement.” En tant qu’utilisateurs réguliers de TPMP ? Comme les législateurs LFI ? Il n’a pas dit. Ils ont droit à un savon non parfumé de Benjamin Castaldi, maître du dress code des hôtels cinq étoiles.
Qui a sans doute oublié que Loana et Jean-Edouard l’ont lancée dans le grand bain avec un dress code décontracté. Afin de “laisser aux meufs le kilométrage auquel ils mettent leur veto”, l’énigmatique Polska mimait, selon ses dires, clôturant la scène par l’hypothèse hilarante que la délicieuse Danielle Moreau devait être dans une rage jalouse. Un TPMP ordinaire, pour faire court.
TMPM une girafe bien bâtie
Tootatis et Polska vont riposter, mais ce “clash” est en réalité significatif dans le sens du vent que TPMP indique inexorablement. La politique ne s’en mêle pas : le babillage des commentateurs de cette « émission-débat » et les réponses du public valent plus que n’importe quel sondage. Dès lors, la morale de cette brève scène est la suivante : dans la vraie vie, au restaurant, il n’est plus trop tard pour flasher sa culotte et sa culotte.
Cyril Hanouna a récemment déclaré que voir une femme en burkini ne lui faisait pas peur et que c’était approprié pour l’époque. Il a même envisagé d’embaucher un ivrogne chronique. à la hâte. “extrêmement sexiste et misogyne.” L’influenceur a déploré le fait qu'”au lieu de parler de l’acte en lui-même, vous vous êtes arrêté aux faux ongles et au décolleté”.
Une série d’événements qui lui ont valu le soutien de diverses personnalités, comme l’écrivaine et militante féministe Rokhaya Diallo ou encore Nadège Abomangoli, la représentante de la France Insoumise. Dans “Touche pas à mon poste” lundi soir, Cyril Hanouna a invité Tootatis et Polska à participer à une réaction en direct.
L’animateur a déclaré qu’il soutenait pleinement les deux influenceurs. Il a déclaré, avant de critiquer avec véhémence “Quotidien”, son rival dans cette tranche horaire, “Tout le monde a le droit de manifester et ce n’est pas parce qu’on a des décolletés qu’on n’a pas d’opinion sur ce qui se passe en France”.
