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Philippe Gloaguen Fils
Philippe Gloaguen Fils

Philippe Gloaguen Fils – Le fils du fondateur des Guides du Routard est un expert du voyage à part entière. Mais l’hospitalité est là où elle brille vraiment. Il est le premier d’un nouvel âge d’or. Elle est tout à fait à l’aise dans l’intimité de son vol. Le fondateur et actuel président du Groupe Hôtel Touriste, Adrien Gloaguen, a réuni à cet effet une collection d’adresses parisiennes de charme.

Aux dires de son épouse et mère de leurs trois filles, le jeune tétraplégique a toujours eu l’esprit d’entreprendre. Elle a glissé, “C’est surtout grâce à ses parents.” Met en lumière l’héritage de Philippe Gloaguen, dont le père était le créateur et le mécène historique du best-seller Guide du Routard. Sa mère, Bénédicte, qui a longtemps travaillé comme journaliste dans l’industrie du voyage, lui a inculqué un fort sentiment d’individualité. L’entrepreneur agité est impatient de partir ce printemps.

Il vient de signer l’achat d’un camping dans la commune bretonne de Pleumeur-Bodou, commune d’environ 5 000 habitants des Côtes-d’Armor. Il supervise également l’ouverture de nouveaux hôtels dans la capitale avant l’été. “Maintenant que je suis de retour au pays, je peux faire un peu de mon Alyah. L’eau est vraiment belle. Le petit…

Bénédicte et Philippe Gloaguen : “Nous ne sommes jamais partis en lune de miel !”

Une ENTRETIEN avec le légendaire créateur du Guide du routard, publié avant les premiers grands voyages de l’été. C’est le premier souvenir de voyage que j’ai qui n’a pas été associé à la visite de mes grands-parents en Bretagne. Quand j’avais environ huit ans, mes parents louaient un appartement en bord de mer à Argelès. Ma mère était assistante sociale et mon père dirigeait une maison de retraite.

Ma mère a fondu en larmes en voyant notre appartement, qui était au 15e étage d’un immeuble qui ressemblait à un HLM, quand moi, mon frère et ma sœur sommes arrivés à destination depuis Meudon dans les Hauts-de-Seine. Mon père m’a emmené avec mon frère à Barcelone pour qu’il puisse essayer de faire amende honorable avec ma mère.

Traverser une frontière, écouter des locuteurs natifs d’une autre langue, goûter de nouveaux aliments… Ce fut toute une aventure, d’autant plus que mon père n’a pas signalé avoir acheté une bouteille de vin au retour. J’avais passé la douane devant des policiers armés, persuadé que nous finirions tous en prison. Quelle joie de retrouver le sol français !

L’Angleterre

Je suis parti durant l’été de ma 16ème année, bac en poche, faire un tour d’Angleterre en auto-stop afin de perfectionner mon anglais avant de m’attaquer à ma prépa Sup de Co. C’est alors que mon amour du voyage sac à dos est né . L’année suivante, après avoir décidé de partir vers le sud, je suis tombé amoureux d’une jeune serveuse en Espagne et j’ai appris la langue en seulement quinze jours.

La route de la soie

“A 21 ans, j’ai beaucoup appris sur moi lors de mon premier grand voyage, qui m’a mené jusqu’en Inde. Le mauvais temps, le manque d’argent, la diarrhée d’une mauvaise alimentation… Malgré cela, je réécrirais mes notes de la journée tous les soirs avant de me coucher.

J’ai toujours voulu être écrivain et dire aux gens que l’on peut vivre une expérience incroyable lors de vacances à petit budget. En 1973, alors que j’avais 22 ans, j’ai eu l’idée d’écrire un guide, mais dix maisons d’édition m’ont refusé avant que le livre n’arrive enfin sur les tablettes.

Ville du péché

Là, après l’avoir mise à rude épreuve lors d’une mission de repérage de deux mois et demi pour “Le Guide” en Amérique du Sud, il a déclaré : “C’est là que j’ai épousé ma femme. Nous avions deux SDF soldats comme témoins.Un mois plus tard, nous sommes retournés chez le maire de la banlieue parisienne pour exprimer nos frustrations.Et le lendemain, je suis parti en Irlande avec un couple gay du travail.

Donc, nous ne sommes jamais partis en vacances, mais nous nous sommes beaucoup amusés à bourlinguer. En conséquence, je suis tombé malade d’une maladie rare qui a nécessité de multiples hospitalisations pendant quatre ans. Ma femme m’apportait le déjeuner tous les jours vers midi. Depuis que Bénédicte s’occupe sérieusement de moi, j’ai réalisé que tomber malade est un bon test.

Ile de Ré

Mon point d’attache, Paris au monde, depuis trois décennies. Nos enfants ont fait de nombreux voyages avec nous, mais pour eux, aussi petite soit-elle, seule l’île de Ré compte vraiment. Maintenant que Manon a trois ans, elle aime nous rendre visite là-bas. Pour le travail, j’ai continué mes voyages internationaux sporadiques mais réguliers. Et si je devais emmener quelqu’un, j’espère que ce serait Laurent Baffie. Il a l’air gentil et il me fait rire aux éclats !

Adrien Gloaguen est bien connu de l’hôtellerie parisienne.

Il y a une dizaine d’années, le fils du fondateur du « Guide du Routard » s’est lancé avec succès dans l’achat d’hôtels vétustes, qu’il a ensuite rénovés et remis au goût du jour. Dans la famille Gloaguen, qui n’a pas été vue publiquement depuis que Philippe père a fondé le “Guide du routard” en 1973, je veux parler avec le fils. Pas le jeune qui dirige le département artistique du pub, mais l’homme d’âge moyen avec une carrière prometteuse dans l’hôtellerie haut de gamme parisienne : Adrien.

Cette trentenaire aux cheveux rebondis et à la barbe bien taillée rachète et rénove des hôtels avec une activité en plein essor depuis dix ans. Confiant dans son gilet bobo bleu, son jean et ses baskets, le jeune Gloaguen, diplômé d’une école de commerce, n’hésite pas à leur dire : « J’achète des hôtels miteux et je change les noms.

Philippe Gloaguen Fils

Et j’essaie de trouver un bon rapport qualité/prix, entre 120 et 150 euros la nuit, pour que le client puisse se le permettre. Se familiariser avec un mobilier de bon goût, un accès Internet confortable et une connexion Wi-Fi fiable.

Si sa dernière réalisation, le Bienvenue, au numéro 23 Buffault (IXe), en est une indication, Adrien Gloaguen a touché le bon fil. Cet hôtel trois étoiles de 38 chambres a été récemment rénové par l’architecte d’intérieur Chloé Nègre et dispose d’une cour-jardin plantée de glycines et de jasmin par le paysagiste Xavier Patricot.

Des luminaires opalescents Art déco aux porte-bagages de style années 1950 en passant par les immenses miroirs encadrés de marbre, le hall et le bar dégagent une ambiance chaleureuse et accueillante. Le nom “Bienvenidos” a été découvert par son épouse, l’attachée de presse corse Julie Revuz. Elevant désormais deux jeunes filles dans le Xe, ce jeune couple s’est d’abord rencontré sur les bancs du lycée de Sévigné (Ve).

Adrien Gloaguen a récemment fondé la chaîne hôtelière Touriste et dirige actuellement quatre établissements en région parisienne, employant au total quatre-vingts personnes. Le Paradis, anciennement Caravelle (41, rue des petites écuries-Xe), a ouvert en 2012 et passe aujourd’hui de deux à trois étoiles.

Le Beaurepaire (31 rue Albert Thomas X), ouvert en 2016, et le Panache (1 rue Geoffroy Marie-IXe) sont trois étoiles. N’oubliez pas de dire “bonjour” Selon lui, les affaires viennent de “50% d’étrangers, 50% de provinciaux”. Le jeune entrepreneur n’entend aucune raison de s’arrêter.

En mars de cette année, il a pu mettre la touche finale au Carlton’s, un hôtel particulier Art déco de 110 chambres récemment rénové et situé au 55, avenue de Rochechouart (IXe), juste en face de la Cigale.

Ce lieu a tout pour en faire le Lutetia de la rive droite : un toit-terrasse avec vue panoramique sur Paris, un restaurant aux allures années 30 et une discothèque façon speakeasy. Ouverture prévue au printemps 2019; début des travaux en octobre. Ici, nous devons penser à un nouveau nom…

Avant tout, cette photographie représente une période. Je n’avais que deux ans, mais ce voyage a marqué le début de nombreuses vacances familiales mémorables. Mon jeune frère Clément et moi avons eu la chance de beaucoup voyager dès notre plus jeune âge grâce à nos parents (leur père,

Philippe Gloguen, est le cofondateur du Guide du Routard, ndlr). ont pu se battre.air… Cette image fait en fait écho au logo de Alors que certains peuvent voir des parallèles avec le personnage portant un globe, j’imagine un routard escortant un voyageur jusqu’à sa destination. l’avenir.

D’un autre côté, cette photo marque la fin d’une époque. Je ne voulais pas qu’on me reproche d’être les “fils d’hôtelier” quand j’ai débuté dans l’industrie, alors j’ai essayé de faire profil bas.e”Aujourd’hui, j’ai fait mes devoirs.Nous avons acheté et vendu une douzaine de chevaux au cours des douze dernières années. Le Panache, Le Bienvenue et Les Deux Gares sont tous des succès énormes dont je suis vraiment fier. excité, et en septembre nous ouvrirons un hôtel à L.A.ondres…

Je me sens maintenant beaucoup plus libre de défendre ma parenté. Mon père ne se mêle pas de mon travail, mais nous aimons parler d’hôtels d’une part et de religion d’autre part. C’est une relation merveilleuse, et je compte mes bénédictions chaque jour que nous pouvons travailler ensemble. des années de ma vie; cela m’a donné le goût de l’aventure au-delà du simple voyage.

Philippe Gloaguen écrit : « Le Guide du Routard a été fait pour les jeunes chômeurs en quête d’aventure ».

Dans les années 1970, Le Guide du Routard devient la bible des jeunes aux moyens financiers modestes. Interview de Philippe Gloaguen, fondateur de l’entreprise et natif de Meudon (Hauts-de-Seine).C’est lui qui sait où aller : Philippe Gloaguen, 70 ans, est un infatigable voyageur qui a déniché d’excellents gîtes à chaque coin de rue du globe.

Le fils d’un instituteur britannique et d’une assistante sociale française a grandi à Meudon (Hauts-de-Seine) avant de partir parcourir le monde. Il nous raconte l’épopée du célèbre Guide du Routard.

Philippe Gloaguen Fils
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