Nicolas Jeanneté Drogue – Nicolas Jeanneté, maire de Paris libéralement élu, est sous surveillance pour trafic de drogue. Hervé Morin, leader du parti centriste Les Centristes, est soupçonné de vendre une drogue destinée au chemsex. FAIL SAFE DIVERS – Le Huffington Post a appris que le conseiller municipal de Paris Nicolas Jeanneté,
Elu représentant du 15e arrondissement et vice-président du groupe d’opposition Changer Paris, a été placé en résidence surveillée le 20 mars “à la fin de la jour » dans le cadre d’une enquête sur un trafic de stupéfiants. Quel est, au juste, le grief contre Hervé Morin, le patron de la Normandie, et le chef du parti centriste Les Centristes ? Vous faites valoir un argument valable.
L’enquête a duré plusieurs mois.
La surveillance fait partie d’une enquête qui dure depuis des mois, a déclaré le fabricant de tapis parisien au HuffPost. Une enquête préliminaire sur des incidents de “trafic de substances abrutissantes” et de “blanchiment” est “menée avec diligence par la brigade des substances abrutissantes” depuis août 2022.
A noter qu’en cas de trafic de drogue, la durée de la surveillance peut aller au-delà de 48 heures. Par ailleurs, le fils de la candidate élue a été placé sous surveillance pour “actes de violence sur agent public survenus lors de l’interrogatoire”, comme le rapporte le parquet parisien.
Prémisses factuelles
Selon Le Parisien, Nicolas Jeanneté est soupçonné de s’être fait livrer à son domicile des drogues de synthèse, comme le 3MMC. Ce produit a fait l’objet d’une attention particulière lors de l’enquête Pierre Palmade. Le but de ce médicament est d’augmenter le plaisir pendant l’activité sexuelle, mais il comporte certains risques, notamment la dépendance. Selon Le Parisien, les enquêteurs ont perquisitionné son domicile “afin de trouver des stupéfiantes”, et l’homme politique a “revendu” la drogue à ses partenaires sexuels par la suite.
Est-ce un cas de double langage ?
Plus surprenant encore, l’élu, qui s’occupait entre autres de la sécurité dans le XVe arrondissement, venait de réaffirmer son engagement en faveur de la prévention du chemsex lors de l’affaire Palmade. En octobre, il alarmait l’opinion en déclarant : « Je déplore la frilosité d’Anne Hidalgo en matière de politique de prévention [et de] lutte contre toutes les addictions, y compris le crack et les drogues récréatives. Il n’a pas nommé chemsex spécifiquement.
Répercussions politiques
Rachida Dati, candidate malheureuse à la mairie face à Anne Hidaldo en 2020, est à la tête de l’association Transform Paris. Le groupe n’a pas pratiqué de riposte à une éventuelle « mise en garde » en direction du vice-président de Dati. Dans le cadre de sa “consternation”, Nicolas Jeanneté annonce qu’il est “immédiatement” suspendu du groupe Changer Paris.
Rachida Dati a réagi de son côté, dénonçant avec virulence les événements pour lesquels Nicolas Jeanneté est soupçonné. Si ce qui a été révélé sur le candidat centriste de la 15e, Nicolas Jeanneté, est vrai, cela confirme tout ce contre quoi je me suis battu. Je soutiens fermement les victimes. Ces horribles révélations n’ont fait que renforcer ma détermination à continuer à me battre”, a-t-elle déclaré dans un communiqué.
L’experte drogue et sécurité de Rachida Dati et de Paris 15 ? Alexandra Cordebard a crié : “Faites ce que je dis, pas ce que je fais !” lorsqu’elle est devenue maire du 10e arrondissement de la capitale. Le message d’Anne Hidalgo se poursuivait : “Je souhaite à tous ceux qui souffrent d’addictions plus de prise en charge, de prévention , espaces de consommation à moindre risque et politique de réduction des risques », faisant écho aux vœux du nouvel élu.
Le camp Dati se fragmente après l’élection de Nicolas Jeanneté, un Parisien accusé de trafic de drogue.
Contenu réservé aux abonnés L’élu du XVe arrondissement, présenté par la gauche comme le “monsieur de la sécurité” de Rachida Dati, a été mis en examen pour trafic de drogue. Dans l’ancien camp des gardes de Sceaux, les gens gardent leurs distances et se souviennent des liens de Jeanneté avec d’autres élus de droite. Ceci est un extrait de Chez Pol, notre bulletin politique réservé aux abonnés.
Le cas de Nicolas Jeanneté continue d’embarrasser la droite parisienne, pour le plus grand plaisir de la gauche. Le conseiller parisien de la guerre contre la drogue a été arrêté lundi soir pour trafic de drogue. Eh bien, c’est quelqu’un qui n’est pas ennuyeux. Mais ce n’est pas la fin. Le Parisien nous apprenait hier que le nouveau président est également soupçonné d’avoir en sa possession des photographies pédopornographiques.
Ce que cela signifie pour Changer Paris, un groupe qui a décidé de mettre sa musique entre parenthèses avant même ces dernières révélations, est énorme. Il n’y a aucune raison de laisser cette affaire enliser un camp qui devrait be profitons au millimètre de l’actualité parisienne et des rues désordonnées.
Pourtant, la nature est prompte à reprendre ce qui lui revient de droit, et la guerre des clans a repris avec une vigueur renouvelée hier après-midi sur la droite parisienne. Ce n’est pas le mons Le leader des centristes, Nicolas Jeanneté, a été soupçonné de trafic de drogue et de saisie d’images pédopornographiques. Entre-temps, lundi 20 mars, Nicolas Jeanneté a été convoqué pour suspicion de trafic de drogue et est désormais suspecté de pédopornographie. vol d’images.
