
Nicolas Jeanneté Compagnon – Nicolas Jeanneté, conseiller municipal de Paris et chef de file de la guerre contre la drogue, a été interpellé lundi soir pour trafic de drogue. Ce n’est pas une chose banale. Le Parisien nous apprenait hier que le candidat avait également été mis en examen pour détention illégale d’images pornographiques.
Même si son nom n’évoque rien d’emblée, tout le monde le connaît dans les rangs du parti politique Les Centristes (LC) et à l’administration municipale du 15e arrondissement. Le Maire du 15ème a confié l’Elu Consultant pour Paris à la paix publique, à la prévention et au maintien de l’ordre local.
Directeur général de la LC et membre du groupe d’opposition “Changer Paris” au Conseil de Paris, il a été immédiatement “suspendu à titre conservateur” par son groupe d’opposition local, dont la chef de file est Rachida Dati. Nicolas Jeanneté est choqué de découvrir qu’il avait de la drogue qu’il a livrée par caisse à son domicile. L’enquête politico-judiciaire se penche également sur les restitutions qu’il a faites à ses partenaires lors de soirées “chemsex”.
Le frère cadet de Nicolas Jeannete veille.
Selon le parquet de Paris au HuffPost, l’agent de sécurité intervient lors d’enquêtes qui durent depuis plusieurs mois. L’enquête préliminaire est “menée avec soin par la brigade des cascades depuis août 2022” pour preuve de “trafic de cascades” et de “blasphème”. A noter que dans les affaires de trafic de stupéfiants, la durée de la garde à vue peut dépasser quarante-huit heures.
Selon le Parquet de Paris, le fils de la candidate élue a également été placé en garde à vue pour “violences commises sur agent public lors de son interrogatoire”. Selon Le Parisien, Nicolas Jeanneté est soupçonné de s’être fait livrer “des drogues de synthèse comme celles des 3MMC” à son domicile. Ce médicament est utilisé dans le contexte sexuel pour augmenter le plaisir.
La Parisien poursuit : “L’homme politique a ensuite vendu ces substances illégales à ses partenaires de boîte de nuit”, ajoutant qu’une enquête a été menée à son domicile “afin de rechercher des substances stupéfiantes”. L’incident est rendu encore plus surprenant par le fait que l’elu avait mis en garde les autorités contre le chemsex. “Depuis deux ans, j’alerte Paris et les pouvoirs publics sur la croissance alarmante de la consommation de drogue lors d’actes sexuels festifs”, avait-il déclaré mi-janvier sur son compte Twitter.
Avant d’évoquer spécifiquement le chemsex en octobre, il avait déclaré : “Je déplore la frivolité d’Anne Hidalgo en matière de politique de prévention et de lutte contre toutes les
Nicolas Jeanneté, conseiller central de Paris, a été interpellé lundi 20 mars pour trafic de stupéfiants, selon une information du parquet de Paris confirmée mercredi 21 mars par France Bleu Paris.
Dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte en août 2022, Nicolas Jeanneté aurait également nié tout acte répréhensible. Selon le parquet de Paris dans France Bleu Paris, son frère a également été placé en garde à vue pour “violences commises sur agent public au moment de l’interrogatoire”.
Le Maire du 15ème a confié l’Elu Consultant pour Paris à la paix publique, à la prévention et au maintien de l’ordre local. Il a été aussitôt “suspendu à titre conservatoire” par son groupe d’opposition municipale, dont la leader est Rachida Dati. “Le groupe Changer Paris a appris qu’un de ses membres a été mis en congé administratif en raison d’allégations contraires aux valeurs que défend notre groupe”, tweete le groupe.
“Le membre concerné a déjà été suspendu du groupe “Changer Paris” au niveau conservateur.” Contacté par France Bleu Paris, “Changer Paris” a refusé de commenter davantage pour le moment sur la question. Le parti « Les Centristes », dirigé par Hervé Morin, a également été contacté par France Bleu Paris, mais n’a pas encore répondu.
L’elu centriste a fait l’objet d’une enquête et d’une mise sous contrôle judiciaire pour trafic de substances stupéfiantes et détention de photos pornographiques. Il y a quelques jours, Nicolas Jeanneté, l’élu centriste de la Mairie de Paris, était encore majoritairement inconnu du grand public. Il a été interrogé et mis en surveillance le 20 mars et est depuis sous les projecteurs du ministère de la Justice.
L’homme de 57 ans est interrogé par les directeurs de “détention, importation, consultation courante d’images pédopornographiques” et “détention, acquisition, transport, offre ou cession de stupéfiants”, selon le métro parisien. Il s’était auparavant fait remarquer sur Twitter pour son rôle dans la lutte contre les stupéfiants.
Selon une personne proche du dossier, “nous n’étions tous absolument pas surpris”. à Figaro. Rachida Dati, maire du 7ème arrondissement et responsable de l’association “Changer Paris”, dirigée parNicolas Jeanneté, a répondu à la question sur Twitter en écrivant : “Je suis révolté. Cette affaire devra être tranchée par la justice.” Dualité du caractère Dans son camp…
Il compte poursuivre une brève carrière de journaliste. Il a notamment fondé la revue législative “Parlements” en 1992, et il est le “nègre” de l’auteur et journaliste Jean Cau pour ses nombreuses recherches et reportages sur la vie politique française dans l’hebdomadaire Paris-Match.
Il rejoint l’Agence Médiatique en 1993, cabinet de conseil en communication politique et institutionnelle dirigé par Marc Bousquet et Bernard Rideau. Depuis plusieurs années, il est également en charge de la communication du département de l’Eure et de la région Champagne-Ardenne.
Il mène également un grand nombre de campagnes électorales à l’étranger, principalement en Afrique. Il s’est notamment fait remarquer pour avoir tenu la communication du général Lebed, ancien candidat à l’élection présidentielle russe décédé accidentellement en 2002. Le livre “Les nouvelles règles du marketing politique en France” est co-écrit avec lui. Changement de cap : En 2000, il fonde Nuit Prod, qui deviendra plus tard Come4Event, sa propre agence de communication événementielle, d’ingénierie et de marketing culturel.
